Several explanations may be offered

Several explanations may be offered to account for these discouraging
results. First, the authors do not specify the kind of patients included in the
"major affective disorders" group. This is important, since all the theoretical
thinking and empirical findings that were presented in this article relate to
unipolar depression. Based on Janowsky, Leff, and Epstein's (1970) description
of marital relationship of manic patients, there is place to assume that
the family relationships of manic or bipolar patients are different. Second,
the patients in Glick et al.'s (1985) study were disturbed to the degree that
they required hospitalization, but the therapeutic intervention to which they
were exposed was very short. As indicated by Friedman (1975), who investigated
the efficacy of marital therapy with depressed outpatients, therapy
started to produce positive change only in the sixth week. Although the
average number of sessions in Glick et al.'s (1985) and Friedman's (1975)
studies was the same (9 sessions), there is reason to assume that the time
devoted to the therapeutic process is important as well. Glick et al. (1985)
validated Friedman's (1975) findings that results of marital or family therapy
can be expected to appear after six weeks. However, while Friedman's (1975)
patients continued to be in therapy six more weeks, Glick et al.'s, (1985)
terminated their treatment at this point. It is suggested that the minimal results
in this study may be attributed to the fact that more disturbed patients were
exposed to less therapy. Third, as noted by Glick et al. (1985), their "results
focus only on the patient and his individual global functioning and symptoms
rather than on family functioning" (p. 886).

Kết quả (Pháp) 1:

Plusieurs explications peuvent être proposées pour tenir compte de ces décourageantrésultats. Tout d'abord, les auteurs ne spécifient pas le genre de patients inclus dans lesgroupe « troubles affectifs profonds ». Ceci est important, car tous les théoriqueréflexion et empiriques qui ont été présentés dans cet article concernentdépression unipolaire. Selon Janowsky, Leff et Epstein description (1970)de la relation maritale des patients maniaques, il y a lieu de supposer queles relations familiales des patients maniaques ou bipolaires sont différentes. Seconde,les patients de Glick et coll. (1985) étude étaient perturbés dans la mesure quiils ont nécessité une hospitalisation, mais l'intervention thérapeutique à laquelle ilsont été exposés a été très court. Comme il est indiqué par Friedman (1975), qui a enquêté surl'efficacité de la thérapie conjugale avec des patients déprimés, thérapiea commencé à produire des changements positifs que dans la sixième semaine. Bien que lanombre moyen de séances Glick et coll. (1985) et de Friedman (1975)études était le même (9 séances), il y a lieu de supposer que le tempsconsacré à la thérapeutique processus est important aussi bien. Glick et coll. (1985)validé les conclusions (1975) de Friedman qui résulte de la thérapie conjugale ou familialeest susceptible d'apparaître après six semaines. Toutefois, si de Friedman (1975)les patients ont continué d'être en thérapie plus de six semaines, Glick et al., (1985)mis fin à leur traitement à ce stade. Il est suggéré que les résultats minimesdans cette étude peut être attribuée au fait que plus dérangé les patients ont étéexposés au moins un traitement. Tiers, tel que noté par Glick et coll. (1985), leurs résultats »se concentrer uniquement sur le patient et son fonctionnement global individuel et symptômesplutôt que sur le fonctionnement de la famille » (p. 886).

Kết quả (Pháp) 2:

Plusieurs explications peuvent être avancées pour expliquer ces décourager les
résultats. Tout d'abord, les auteurs ne précisent pas le genre de patients inclus dans le
groupe "majeurs de troubles affectifs". Ceci est important, puisque tout le théorique
pensée et résultats empiriques qui ont été présentées dans cet article concernent
la dépression unipolaire. Basé sur Janowsky, Leff, et Epstein (1970) Description
du lien matrimonial des patients maniaques, il ya lieu de supposer que
les relations de la famille des patients maniaco-dépressifs ou bipolaires sont différents. Deuxièmement,
les patients dans Glick et al. de (1985) étude ont été perturbés dans la mesure où
ils ont dû être hospitalisés, mais l'intervention thérapeutique à laquelle ils
ont été exposés était très court. Comme indiqué par Friedman (1975), qui a enquêté sur
l'efficacité de la thérapie conjugale avec ambulatoire déprimés, la thérapie
a commencé à produire des changements positifs que dans la sixième semaine. Bien que le
nombre moyen de sessions dans Glick et al. (1985) et (1975) de Friedman
études était le même (9 séances), il ya des raisons de supposer que le temps
consacré au processus thérapeutique est important aussi. Glick et al. (1985)
(1975) validé les conclusions de Friedman que les résultats de la thérapie conjugale ou familiale
peuvent être attendus à apparaître après six semaines. Cependant, alors (1975) de Friedman
patients ont continué à être en thérapie six semaines de plus, Glick et coll., (1985)
résilié leur traitement à ce point. Il est suggéré que les résultats minimes
dans cette étude peuvent être attribués au fait que les patients les plus perturbés ont été
exposés à moins de thérapie. Troisièmement, comme l'a noté Glick et al. (1985), "leurs résultats
se concentrent uniquement sur ​​le patient et son fonctionnement et les symptômes mondiale individuelle
plutôt que sur le fonctionnement familial »(p. 886).

Kết quả (Pháp) 3:

Plusieurs explications peuvent être offerts pour tenir compte de ces décourageant
résultats. Tout d'abord, les auteurs ne précise pas le genre de patients inclus dans l'
"grands troubles affectifs" groupe. Cela est important, car tous les théorique les résultats empiriques et pensée
qui étaient présentés dans cet article se rapportent à
dépression unipolaire. Basé sur Janowsky, Leff et Epstein (1970) description
De lien matrimonial des patients maniaques, il y a lieu de supposer que les relations familiales de
le maniaque ou les patients présentant un trouble bipolaire sont différents. Deuxièmement,
patients dans Glick et coll. (1985) étude ont été perturbés au degré que
ils nécessitaient une hospitalisation, mais l'intervention thérapeutique pour lequel ils ont été exposés a été très
court. Comme indiqué par Friedman (1975), qui a étudié l'
L'efficacité de la thérapie conjugale avec appuyée non hospitalisés, thérapie
a commencé à produire des changements positifs que dans la sixième semaine. Bien que la
nombre de séances au cours moyen Glick et coll. (1985) et Friedman (1975)
études était la même (9 séances), il y a des raisons de supposer que le temps
au processus thérapeutique consacrée est important aussi. Glick et al. (1985)
Validé Friedman (1975) conclusions que les résultats de la thérapie familiale ou conjugale
peuvent être appelés à comparaître après six semaines. Toutefois, tandis que Friedman (1975)
patients ont continué d'être en thérapie six semaines de plus, Glick et coll., (1985)
terminé leur traitement à ce stade. Il est suggéré que le minimum de résultats
dans cette étude peut être attribuable au fait que davantage de patients ont été perturbées
Exposés à moins de thérapie. Troisièmement, comme l'a noté Glick et al. (1985), leurs " résultats
concentrer uniquement sur le patient et son fonctionnement global et individuel des symptômes
plutôt que sur le fonctionnement de la famille" (p. 886).