La dernière partie de l'examen de la recherche se concentrera sur des études d'efficacité qui
compare couple ou en famille interventions avec d'autres modes de traitement. La plupart
des théoriciens et chercheurs qui considèrent la dépression soutiennent systémique
de la nécessité d'évaluer et de traiter la dépression dans un matrimonial ou familial
contexte. Malgré ce fait, les auteurs pourraient trouver que deux de ces études. La
première étude a été réalisée par Friedman (1975). Friedman (1975) a étudié 150
patients externes déprimés mariés des deux sexes qui ont complété un cours de 12 semaines
de traitement. Les patients ont été divisés en quatre groupes: (a) les médicaments et matrimonial
thérapie, (b) les médicaments et le contact thérapeutique minimale, (c) placebo et matrimonial
thérapie, et (d) un placebo et un contact minimal. Friedman (1975) a constaté que
les deux médicaments et la thérapie conjugale ont montré des avantages substantiels sur leurs
conditions de contrôle. Cependant, le traitement médicamenteux, par rapport à la thérapie conjugale,
a été plus rapide et généralement supérieure dans la production de soulagement des symptômes. La thérapie médicamenteuse
a obtenu des résultats dans quatre semaines. D'autre part, la thérapie conjugale a commencé à
montrer les tendances de résultats positifs que dans la sixième semaine de traitement, mais était
supérieure à la pharmacothérapie dans l'amélioration de la participation et des performances des patients
dans les tâches de rôle de la famille, dans la réduction de l'hostilité, et pour changer la perception de
conjugales relations. A la fin du traitement, la thérapie de couple a eu un
effet légèrement supérieure pour réduire les symptômes aussi bien. La deuxième étude
(Glick et al., 1985) a testé l'efficacité de la thérapie familiale dans le traitement hospitalisés
les patients avec des troubles schizophréniques et affectifs majeurs. Quarante-sept
patients souffrant de troubles affectifs ont été divisés en deux groupes.
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