Une autre implication clinique est la recommandation mentionnée par de nombreux
enquêteurs que, en raison de la mauvaise qualité de la relation conjugale de
patients déprimés, leurs conjoints doivent être inclus dans la thérapie ainsi
(Coyne, 1984; Dryden, 1981; Hautzinger et al., 1982; . Klerman et al, 1984;
. Marikangas et al, 1985; Krantz et Moos, 1987). Cette ligne de pensée
représente une approche trop étroite. Selon le modèle inverse de
la dépression, et les résultats de recherche (Biglan et al, 1985;. Hautzinger, Linden et
Hoffman, 1982;. Houblon et al, 1987), la relation entre les conjoints et
entre les membres de la famille immédiate est un résultat d'internes et
réciprocités interpersonnelles. Réduire les conflits ou l'amélioration de la communication
peut être très utile. Toutefois, si on les aborde sans aucune référence à l'ensemble du
réseau de réciprocités circulaires qui maintiennent la dépression, son impact sera
limité.
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