L'étude des interactions et des séquences d'interactions spécifiques dans les familles
de patients déprimés offre une nouvelle perspective sur la dépression. Cette approche
fournit le support empirique la plus significative pour la vue interpersonnel
de la dépression. Cette ligne de recherche, effectuée dans le Oregon Research
Institute, a été signalé dans deux études (Biglan, Houblon, Sherman, Friedman,
Arthur, et Osteen, 1985 et Houblon, Biglan, Sherman, Arthur, Friedman, et
Osteen, 1987). La première étude a examiné en laboratoire le comportement de résolution de problèmes
des couples mariés dont l'épouse était déprimé. La deuxième étude
a été basée sur des observations de la maison qui comprenait les enfants âgés de 3-16 ans
ainsi. Des études antérieures qui ont consulté la page enfants de patients déprimés concentrent
principalement sur leur bien-être. Comme on peut s'y attendre, la plupart des résultats indiquent
que ces enfants sont à risque (Cohen & Tronick, 1983; Cytryn, McKnew,
Zahn-Waxier, et Gershon, 1986; Emery, Weintraub, et Neale, 1982). Houblon
et al. (1987) inclus les enfants dans leur étude dans le but d'obtenir des informations
sur les familles de patients déprimés et d'enquêter sur l'implication
des enfants avec le parent déprimé et non-déprimés.
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